Un problème intéressant dans les économies capitalistes est que si le capital est concentré entre les mains de quelques acteurs, comme il tend à le faire, alors il n'y a plus personne ayant suffisament d'argent pour acheter des items. Le premier problème évident est que les personnes ne pourront plus manger, mais d'un point de vue économique, le système se rompt à ce stade parce qu'il n'y a plus de flux dans l'économie. Si vous regardez l'économie comme un réseau, alors les acteurs les plus solides sont des canalisations réseau. Quand il n'y a pas de capital dans les sources du réseau (les consommateurs), alors il n'y a plus de potentiel ou d'inducteur dans le réseau. Le système de taxes se casse tout aussi bien parce que les impôts sur le revenu et les transactions existent du fait de frictions ou de résistance sur le flux dans l'économie.
Un régime des impôts trop bas et c'est le flux qui devient trop rapide envers la concentration du capital dans les mains d'un petit nombre et puis tout s'arrêtera car le réseau parviendra à un équilibre. Un régime d'impôts trop élevé et le flux sera trop lent. Il existe un équilibre optimal.
L'horreur de l'économie côté offre est qu'il n'existe pas une telle chose comme un "effet de percolation" (trickle down). Il n'y a qu'une économe de "trickle-up" parce que le flux dans le réseau est de retour sur la ChaîneDeValeur, des consommateurs au producteurs. Les producteurs ne donnent pas d'argent aux consommateurs. Allouer des réductions d'impôts aux riches élimine la capacité du gouvernement de redistribuer la fortune aux sources du réseau dans l'économie afin de faire que l'ensemble de la chose fonctionne. En d'autres mots, le gouvernement est comme la batterie dans le circuit.
Pour aller plus loin, si vous supposez que les riches sont les plus capables de faire tourner l'économie, parce qu'ils ont été naturellement sélectionnés comme de bons hommes d'affaires, vous passez complètement à côté de l'objectif du capitalisme. Bien sûr, vous réclamez un autre PlanCentral?, ce qui était ce que le capitalisme a toujours cherché à renverser. Les riches ont simplement l'argent, pas nécessairement l'idée juste ou l'audace (chutzpah) dans le monde dans lequel nous vivons, et n'ont pas non plus nécessairement la motivation d'agir dans les intérêts de LeIndividu.
Pour finir, un impôt uniforme est aussi pervers, parce qu'il bénéficiera plus aux riches qu'aux pauvres. Après tout, pour les personnes qui ne payent pas d'impôts pour le moment, ce peut être à difficilement une amélioration. Parce qu'une canalisation solide de réseau a un effet gravitationnel plus solide dans le réseau qu'une canalisation légère (les riches deviennent plus riches), alors un taux bas d'impôt mènera inévitablement à une concentration de la richesse une fois de plus pour le tout petit nombre de personnes suffisamment chanceuses pour acquérir une richesse à une vitesse plus élevée qu'elle n'est taxée.
Par conséquent un capitaliste judicieux créerait un CapitalismeSocial (un libéralisme) pour redistribuer le capital à UnIndividu. Ou en d'autres mots, il est de la responsabilité des riches de redistribuer la richesse aux consommateurs de façon à ce qu'ils puissent continuer à être riches. Ce n'est pas un miracle que quand le chômage est élevé, les sociétés font pire, et ceci mène à plus de chômage, et les sociétés vont mieux.
Les hauts et bas de l'économie sont simplement que l'argent se retrouve concentré soit entre les consommateurs ou entre les producteurs de façon cyclique. Quand les temps sont bons, l'argent migre dans les sociétés. Quand les temps sont mauvais, les investisseurs doivent réaliser l'argent dans l'économie de façon à ce qu'ils puissent vivre ou faire d'autres choses. Pour les investisseurs petits et moyens, ceci empêche l'économie de vaciller dans ce pendule. Néanmoins, les personnes très riches peuvent générer suffisamment de fortune durant les périodes difficiles pour ne jamais se retrouver contraintes à dépenser leurs propres économies pour vivre. Elles se sont par essence évadées. Une économie saine se concentre sur les investisseurs petits et moyens, parce que cela devrait limiter l'amplitude de la balance du pendule, même s'il est important que le pendule se balance suffisamment pour que des nouvelles affaires complètement nouvelles et des approches puissent être essayées quand le capital investissement change de mains durant les périodes de récession.