Bien avant les analyses de systèmes, la confiance a été longuement discutée en sociologie. A ce jour néanmoins, cette littérature ancienne n'a pas été complètement coordonnée même si de solides progrès ont été réalisés. Comme l'ont observé McKnight? et Chervany (1996), il existe bien sûr beaucoup trop de définitions différentes de la confiance dans la recherche, rendant impossible de comparer les études pour dériver vers des conclusions méta-théoriques dans un espoir de les coordonner.
Beaucoup de littérature à propos de l'analyse des systèmes n'essaye pas d'adresser sérieusement le problème d'un manque de définition de la confiance, mais plutôt de produire une référence en s'appuyant sur le fait qu'une discussion est en cours. Beaucoup d'articles ont répété cette citation exacte de la confiance :
Définition qui fait autorité. Ailleurs, beaucoup d'études utilisent des définitions de dictionnaire de confiance, disons la définition tirée du Webster ou celle de l'Oxford English Dictionary avant de migrer sur leurs problèmes proches. Alors que ces stratégies sont légitimes jusqu'aù stade où elles vont, elles ne couvrent néanmoins pas la totalité du travail. Quoique la situation laisse quelque chose restant à désirer, certaines ont été très loins en tant qu'attaques directes de la situation dans la recherche comme un chaos :
Pour adresser ceci, ce qui suit est un cadre simplifié des meilleures conceptualisations existantes à ce jour.
Il n'est pas surprenant que la recherche sur l'analyse des systèmes ait échoué pour parvenir à un consensus sur ce que veut dire la confiance. Des études plus complètes (McKnight? and Chervany, 1996; Chopra and Wallace, 2003) en sont venues à la conclusion que la littérature en sciences sociales a des définitions multiples de la confiance parce que chacune colle au champ étroit ou à la perspective de ses disciplines respectives, et par conséquent elles sont chacune comme des aveugles décrivant un éléphant. Pour résumer :
Ce qui crée globalement trois catégories structurelles larges pour conceptualiser la confiance :
Tout comme un modèle général sur la manière dont la confiance affecte un individu, provenant tant des définitions du dictionnaire vérifiées par la recherche, comme la confiance étant a) un sentiment personnel du trustor, b) de la façon dont la confiance doit être dans des attentes positives du trustee, c) ce qui induit quelque modification comportementale dans le trustor, a conduit Chopra et Wallace (2003) à définir la confiance de façon concise comme
Pour conclure, la confiance a à la fois en elle-même des dimensions cognitives rationnelles et des dimensions émotionnelles affectives, une distinction qui lutte souvent dans la littérature d'analyse système (e.g. Camp, 2003). Alors que les économistes regardent la mécanique de choix rationnel comme une décicision cognitive pour la confiance, les psychologues étudient comment les états émotionnels mènent les personnes à la confiance ou à la méfiance. McKnight? et Chervany (1996) s'arrangent pour combiner toutes ces vues disparates de la confiance dans le tableau suivant :
Impersonnel | Personnel | Interpersonnel |
Etat Affectif | Etat Cognitif | |
Structurel | Disposition Attitude Sentiment | Attente Croyance Intention |
Contre ce cadre, nous pouvons placer les différentes dimensions que les personnes ont utilisées pour essayer de caractériser la confiance. Comme le décrivent Chopra et Wallace (2003) avec quelques modifications mineures à bouger les catégorisations mal placées, plus les dimensions décrites par McKnight? et Chervany (1996) :
Chopra et Wallace (2003) décrivent plus en profondeur que la confiance est développée par la prévisibilité (expérience passé avec le trustee), jugement (calcul fondé sur la preuve disponible, lien (relation émotionnelle), réputation et identification (partagions-nous une identité commune ?). Tandis que dans un article plus récent, McKnight? et Chervany (2001) résument les facteurs d'historique (hygiène) qui sont nécessaires pour permettre le processus de développement de la confiance qui sont restructurés ici comme suit :
Méfiance. Le dernier point, le recours social, les points vers lesquels la confiance contraste avec la méfiance. La confiance permet des gains plus élevés tandis que la méfiance évite la perte potentielle (Camp, 2003). Le long de l'axe des relations personnelles, interpersonnelles et structurelles, la méfiance est respectivement un niveau de la personne de prudence ou de défiance ; le niveau qu'elle désire pour contrôler une relation particulière interpersonnelle afin de se sentir en sécurité ; et un mécanisme (cad la prison) pour révoquer la confiance soit accordée ou présumée par défaut. Une définition raisonnable dit que la méfiance est le "manque de croyance ferme dans la compétence d'une entité pour agir de manière sûr, solidement et en de manière fiable dans un contexte spécifié." (Grandison and Sloman, 2000, p.3)
Dans les systèmes d'information, beaucoup d'essais ont été produits pour formaliser la confiance ou pour la modéliser avec la facilité d'implémentation par la machine. Les principes suivants sont communément gérés :
Néanmoins, bien que la majorité des essais se soient concentrés sur la confiance transitive parce qu'elle était pratique pour la technique de modélisation, sans prendre en compte la pleine richesse de la façon dont les personnes utilisent véritablement lerus connexions sociales pour décider que la confiance mène à des systèmes erronés. Considérant que d'une part, les recommandations doivent aussi être de confiance (Abdul-Rahman & Hailes, 1997a), comme on peut ne pas croire son mécanicien automobile pour donner du conseil médical, ou différents niveaux de confiance dans les institutions tournant dans le Troisième Monde. Deuxièmement, la confiance n'est pas totalement transitive, mais seulement partiellement transitive. Si un ami recommande un comptable, il ne conclura pas automatiquement que l'argent peut être de confiance avec ce comptable., exigeant de nous d'évaluer nous-mêmes ce comptable (Reagle, 1996). En outre, la confiance est liée à des relations personnelles décrites comme ci-dessus, ainsi jusqu'à ce que le comptable ait été rencontré et qu'une relation personnelle soit construite nous ne nous ferons pas autant confiance l'un et l'autre que comme l'ami et le comptable. Aussi, les gens mentent, ils sont partials ou ont d'autres biais que nous ne pouvons pas imaginer — même si la plupart des articles sur ces systèmes fait de la production de cette hypothèse simplifiée pour la praticité de leurs modèles. Ce peut être dangereux si le système force un utilisateur à devenir vulnérable envers une partie qui, en dépit de ce que croit le modèle, n'est pas en bon terme avec lui. A la place, un modèle préféré est d'utiliser les recommandations pour identifier les candidats et puis de produire des jugements personnels et de construire des relations à partir de là.
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Il existe aussi une définition très différente de la confiance : la confiance est la quantité de dommages que vous permettez à quiconque d'être capable d'infliger à vous-même. Ainsi un haut niveau de confiance ne veut rien dire qui ne puisse aller mal mais cela veut dire que si quelque chose va mal cela blessera beaucoup. Dans cette définition, la confiance n'est ni une probabilité ni une estimation. Elle est mesurée par la partie que vous avez déjà exposée à votre opposant.
La quantité que quelqu'un d'autre (ou quelque chose) peut vous infliger est (tant que vous n'êtes pas omnipotent) indépendante de vous-même. Je ne pense pas que vous puissiez définir la confiance comme quelque chose d'indépendant de la personne qui fait confiance. -- ZbigniewLukasiak