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Une PresseAmourPropre (vanités) est un éditeur qui publiera tout. L'auteur paie les services de la presse amour-propre qui imprimera "Tout pour un prix.''"

Mais ceci est différent

auto-publication. Quand un auteur va vers une PresseAmourPropre pour éditer, ceci est appelé de façon erronée publication à compte d'auteur. La vraie publication à compte d'auteur survient quand un auteur est le véritable éditeur.

ImpressionAlaDemande?. POD. Offre des productions en petites quantités de livres à un prix raisonnable. Souvent utilisée pour les publications académiques, publication à compte d'auteur ou de la PresseAmourPropre.

Définitions

Un éditeur est la personne qui possède l'ISBN (international standard book number) d'un livre. Un éditeur à compte d'auteur est un éditeur qui publie ses propres écrits. Les auteurs cherchant la vanité utilisent la presse « amour-propre » qui édite en utilisant le bloc des ISBNs délivré pour l'opération vanité.


Quiconque pense qu'il est en train d'auto-éditer en utilisant une presse amour-propre se fait arnaquer par l'éditeur à vanités. La plupart des imprimeurs à la demande sont la version moderne de l'éditeur amour-propre. Ils facturent beaucoup et offrent peu. La qualité est basse. Les définitions de contrats sont unilatérales. Ils essayent souvent de vendre des « services » sans intérêt tels qu'un léger « marketing ». Les imprimeurs à la demande ont beaucoup grossi du fait de l'encombrement des machines de reproduction numérique achetées par les reprographes. Pour occuper ce temps machine et justifier des coûts, ils en sont venus à développer leurs services d'édition « amour-propre ».

Les critiques littéraires refusent catégoriquement de critiquer les Impressions à la Demande ou toute autre forme de publications amour propre. La moyenne des livres imprimés à la demande est de l'ordre de dix copies vendues. Entre l'auteur, sa maman et d'autre membres de la famille ceci ne donne pas beaucoup de ventes réelles.

(Note : Aucun livre ne se vend sans marketing. A nouveau l'auteur original ici mixe les impressions à la demande dans la catégorie « amour-propre » avec le processus. Les critiques n'ont pas de problèmes à critiquer les livres imprimés à la demande (y compris l'hebdo de la semaine de l'éditeur) et selon les valeurs de productions, elles ne peuvent même pas faire quelque différence.)

Quelques autres sites en anglais avec de la bonne information :

NOTE : La terminologie suivante n'est PAS standard dans l'industrie.

A l'inverse, si la presse (c'est à dire l'éditeur) paie l'auteur, c'est vénal (véritablement c'est une presse Traditionelle. L'industrie de l'édition tombe dans cette catégorie, mais une presse vénale ne peut pas opérer pour le profit. Le copyright soutient la capacité de éditeurs à faire un profit afin d'accroître le nombre de presses en état de marche et le nombre d'auteurs.

Si l'auteur encourage bassement les intérêts tiers afin d'éditer, ou s'il écrit ou publie sous la demande d'intérêts tiers, pour l'objectif avoué de quelque gain personnel égoïste, c'est un mercenaire [ou une presse universitaire ou une presse cooptée – légitime pour les modèles de business]. Les sociétés marketing tombent dans cette catégorie. C'est aussi le cas de ces presses vénales qui éditent du contenu politique à perte.

"My pen is venal that it may not be mercenary." --Jacques-Pierre Brissot de Warville

"Our republic and its press will rise or fall together. A cynical mercenary press will produce in time a people as base as itself." --Joseph Pulitzer (1904)

"The bourgeoisie in old parliamentary countries has excellently mastered the art of hypocrisy and of fooling the people in a thousand ways, passing off bourgeois parliamentarism as 'democracy in general' or as 'pure democracy' and so on, cunningly concealing the million threads which bind Parliament to the stock exchange and the capitalists, utilising a venal mercenary press and exercising the power of money, the power of capital in every way." --Lenin in a letter to Sylvia Pankhurst (emph. added)

In contrast to a mercenary press, modern times bring the free press which is afforded the freedom of speech. Traditionally these presses are "free" of the church (first estate), the government (second estate), the people (third estate), but now also of moneyed interests. Free presses were meant to form much of the FourthEstate?--the journalists.

"Yonder sits the Fourth Estate, and they are more important than them all." -- Edmund Burke, looking at the Press Gallery of the House of Commons

"Were it left to me to decide whether we should have a government without newspapers or newspapers without a government, I should not hesitate a moment to prefer the latter." --Thomas Jefferson Jefferson to Edward Carrington (1787)

Quelque pensée post-moderne dit que les journalistes ne sont plus libres.

"I deplore... the putrid state into which our newspapers have passed and the malignity, the vulgarity, and mendacious spirit of those who write for them... These ordures are rapidly depraving the public taste and lessening its relish for sound food. As vehicles of information and a curb on our funtionaries, they have rendered themselves useless by forfeiting all title to belief... This has, in a great degree, been produced by the violence and malignity of party spirit." -- Thomas Jefferson to Walter Jones (1814)

Collectivement, toutes les presses sous la forme ThirdEstate? de la presse populaire, mais généralement la plupart des gens pourraient exclure les publications extrémistes qui ne sont même pas lues par la majorité. On pourrait vraiment tomber dans le FourthEstate? la presse populaire.

La presse populaire ne soutient pas nécessairement la vox populi (la voix des gens) comme la presse populaire peut être vénale ou mercenaire. Par exemple, le coup monnayé qui a renversé le Président Chavez du Venezuela était l'un des viols les plus flagrants des médias privés, où les média possédés par des privés ont directement menti au public, tout cela pour ne pas mentionner avoir attaqué l'infrastructure média publique, pour produire des troubles publics. A l'inverse, vous trouverez que beaucoup de communautés en ligne supportent la « vox populi » en ne faisant pas payer l'édition. Pour distinguer ce mode de celui plus typique de la PresseAmourPropre guidé par le profit, peut-être que pourrait être utilisé l'expression presse démotique.

Quelques radicaux suggèrent le remplacement de l'établissement du « FourthEstate? » par des presses démotiques.

"I am persuaded that the good sense of the people will always be found to be the best army." --Thomas Jefferson à Edward Carrington (1787)

Radical.


En fin de compte, je pense que le rôle public des éditeurs sera de distinguer le bon travail de la pile des contenus, la plupart d'entre eux étant abominables. Leur rôle traditionnel de distributeur disparaîtra avec la MortDuCopyright?. -- SunirShah

Je n'ai pas dit ça, n'est-ce pas ? Que c'est gênant. --ss


Le copyright supporte la capacité des éditeurs à faire un profit afin d'accroître le nombre de presses en état de fonctionner et le nombre d'auteurs en état de fonctionner.

Et bien non. Sans avoir une dissection Clintonnienne du mot « fonctionnement », le copyright réduit le nombre de presses. Moins de presses, plus de profit par presse. Que ce soit une bonne ou une mauvais chose dépend si vous êtes un éditeur ou un lecteur.


La sélection de bon contenu est sûrement le job d'un rédacteur en chef ou d'une critique pas d'un éditeur.

Je ne pense pas que la section "vanité" signifie qu'il publie quoi que ce soit. C'est plus le fait qu'il éditera même sans un bon prospect ou un bon retour sur ventes. Les risques de production et de distribution sont généralement payés par l'auteur, ce qui veut dire que l'auteur peut être le rédacteur en chef. Normalement, le rédacteur en chef est employé par l'éditeur pour réduire les risques de la publication. La technologie a encouragé l'édition amour-propre parce qu'elle rend les coûts si bas, que l'éditeur n'a plus besoin d'un rédacteur en chef pour cette raison.

(Je ne me sens pas vraiment à l'aise avec tout ça mais je ne peux pas trouver de meilleure formulation à cette heure.) -- DaveHarris

Je ne suis pas sûr de comprendre le rôle du rédacteur en chef que vous soulignez. N'ayant pas travaillé avec une PresseAmourPropre depuis plusieurs années, j'ai oublié la plupart de leurs méthodes de travail internes mais je crois que la PresseAmourPropre a quelques rôles :

NOTE : La distribution n'arrive jamais. Personne ne stockera des publicités amour-propre, et aucun grossiste ou distributeur n'essaiera de les distribuer. Les ventes sont rares jusqu'à la non existence. Les services sans valeur ajoutée tels que le marketing et l'édition sont de grosses sources de revenus pour la presse amour propre

(Note : Le plus gros imprimeur à la demande dans le monde est Lightning Source, qui est utilisé par bon nombre de presses à compte d'auteur, en plus des milliers d'éditeurs. Tous les livres de Lightning Source books sont disponibles chez Ingram, Barnes&Noble et Amazon.)

La plupart des autres rôles sont la responsabilité de l'auteur. Je suppose qu'il est possible de louer des services éditoriaux de la PresseAmourPropre à des coûts supplémentaires, mais ne pense pas que ce soit économique à offrir pour la presse. Ils font simplement ce pourquoi ils sont payés. -- SunirShah NOTE : Ils font beaucoup d'argent sur des services sans valeur ajoutée comme la rédaction en chef et le marketing. Ceci est du pur profit qui excède souvent le coût de l'impression.

Aussi comment ceci diffère d'un éditeur normal ? Il me semblait que la principale différence se fait sur la sélection de livres à publier et à pouvoir en rejeter d'autres, ce qui est essentiellement un travail de rédaction en chef. -- DaveHarris


Xlibris (http://www.xlibris.com/) fournit une sorte de""service d'impression à la demande"" pour les auteurs. On peut véritablement publier de vrais livres sans la moindre dépense pour l'auteur. Les services supplémentaires pour les auteurs sont relativement bon marché, comme une révision de copie professionnelle pour $250. Pour en savoir plus voire OnDemandPublishing... -- CliffordAdams


Le Web est une PresseAmourPropre gigantesque.

Je ne pense pas. Cela vous a donné de la réputation d'être un auteur. Cela ne vous en donne plus (ce n'est plus le cas) d'avoir un site web.

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