Connu aussi comme le P2PJ. Un terme qui est vraiment descendu de la conférence O'Reilly p2p West 2001.
Il existe beaucoup d'espoirs et de craintes que le JournalismeParticipatif créera le DailyMe.
Voir aussi l'[article] sur KuroShin sur l'existence d'une liste de journalisme participatif sur http://lists.infoanarchy.org/mailman/listinfo.cgi/p2pj.
Beaucoup de gens pensent que PeerToPeer signifie quelque chose comme un système de distribution, ala NapsterDotCom, avec redondance et optimisation de bande passante et toutes sortes de trucs dingues. Mais je ne le pense pas. Je pense que définir quelque chose par une éxécution n'est pas la meilleure idée.
Je pense que le p2pj est vraiment à propos du j--Journalism, pas le truc fou en réseau que les hard hats aiment construire. Le Journalisme est du JOUR-nal-isme. Pour nous les français, cela revient à enregistrer les "événements du jour". Peer to peer signifie interagir de personne à personne, de bouche à oreille, main dans la main. Comme je le disais à mon ami la nuit dernière, c'était du journalisme peer-to-peer. Je lui disais ce qu'il y avait de nouveau -- en face à face. Il n'avait pas lu ma vie dans les journaux ni même dans mon journal personnel. Je lui disais simplement des trucs. Du Beer to beer journalisme.
Le p2pj est tendance. Ce n'est pas vraiment la chose la plus intéressante. Utilisez l'e-mail, la MessagerieInstantanée?, le téléphone ou même un bar. Le cas vraiment intéressant est quand les lecteurs sont les auteurs. Alors les auteurs peuvent diffuser vers d'autres lecteurs qui peuvent répondre en diffusant vers d'autres lecteurs.
Bien sûr, ce n'est même pas nouveau. C'est ce que nous aimerions appeler "un ensemble de personnes accoudées à un bar". Je pense que le truc est de l'organiser de telle manière que vous puissiez disposer d'un stade entier de personnes bavardant les unes avec les autres. Cependant, organiser cela est un problème social, pas un problème technique.
Peut-être que ce n'est pas simplement la dimension innovante et bon marché de la PresseAmourPropre. Alors peut-être que le p2pj est la sélection éditoriale de ce qu'il faut lire et que le morceau de PeerToPeer c'est Moi allant vers mon ami, 'ici lis-ça". Ou moi en train de diffuser à d'autres lecteurs de manière à ce qu'ils puissent lire cela. Mais ce n'est pas du journalisme. C'est simplement Google.
Oui, si ce doit être du journalisme, alors ce serait des lecteurs se rendant compte les uns les autres des événements du jour. Je pensais que c'était le propos des journaux personnels ?
Je suppose que ce serait des lecteurs écrivant à propos des événements du jour non directement liés à leurs histoires. D'ou le terme de "grassroots journalism".
En d'autres mots des zines.
Je pense que c'est le plus exact. Cela colle à la manière dont les zines sont devenus populaires après que la photocopie ne devienne chère, et maintenant que la chute des coups de production internes est en route, les zines ont entrepris un virage différent et global. Maintenant (presque tout le temps), quiconque peut créer un site un peu différent. Désormais, parmi (la plupart) de ceux qui peuvent, quiconque (presque tout le monde) peut créer un site. Et ils brisent le CycleDeMortDuContenu? (Sans contenu, vous n'avez pas d'utilisateurs ; sans utilisateurs, vous ne pouvez pas suggérer de produire du contenu pour votre compte) en ayant des utilisateurs qui vous produisent le contenu. -- SunirShah
Voir aussi : FilTemps et le projet [newsvine.com].